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17 mai 20220

Les motos thermiques et électriques ont besoin d’entretien périodique pour rester performant. Vu les différences au niveau de leur constitution, il y a lieu de se demander celle qui est moins chère à l’entretien. Il est primordial de vous renseigner sur les coûts que génère leur utilisation avant de passer à l’achat. Voici les éléments de réponse à cette préoccupation.

L’essentiel à savoir sur l’entretien d’une moto électrique

L’entretien que requièrent les motos électriques est très limité et se réduit à des dépenses mineures. Cela s’explique par le fait qu’elles ne possèdent pas de moteur à huile, de système de combustion, de bougie, de soupape, etc. Il n’est donc pas nécessaire d’effectuer de vidange, de remplacer les filtres, de changer de bougie, de synchroniser le carburateur, etc. Ce sont d’ailleurs ces actions qui sont majoritairement responsables des dépenses liées à l’entretien.

Les pièces à usure qui nécessitent d’être remplacées sur une moto électrique sont :

  • le système de freinage ;
  • les pneus ;
  • les joints de spy ;
  • les chaînes ;
  • les plaquettes.

Les visites d’entretien pour les éléments énumérés ont lieu par intervalle de 4 000 km ou 5 000 km parcourus. Ces accessoires ne coûtent pas cher. Pour ce qui est de la batterie, un simple test au multimètre est suffisant pour déterminer si elle est toujours en état.

On retiendra alors que les motos électriques comptent très peu de pièces (20 au total) et les risques de pannes sont faibles. Leur fréquence de passage chez le garagiste est bien espacée. Tout ceci explique l’évaluation de leur coût d’entretien à 120 €/an.

L’essentiel à savoir sur l’entretien d’une moto thermique

Une moto thermique compte environ 125 pièces. Ce chiffre représente plus d’une cinquantaine de fois celui d’une moto électrique. Cela donne un aperçu de l’étendue des différents entretiens à réaliser.

En premier lieu, il y a la vidange qui doit être effectuée régulièrement entre 500 et 700 km. Elle s’accompagne généralement du graissage de la chaîne, du serrage des vis et de l’ajustement du frein. Chacune de ces actions a un coût.

Il y a également d’autres entretiens très fréquents qui font grimper les frais au niveau les motos thermiques. C’est le cas du remplacement de bougie, le changement de courroie et le décrassement d’échappement. À ceux-ci, s’ajoute l’entretien des pièces d’usure, les mêmes pièces qu’au niveau des motos électriques.

Pour finir, il faut rappeler que plus une moto thermique parcours de distance, plus les pièces coûteuses nécessitent d’être changées. Par exemple, à 24 000 km, il faut le remplacement des soupapes, le kit chaîne et le réglage du carburateur. Il faut prévoir à cet effet 400 € environ. Lorsque la moto passe la barre des 50 000 km, prévoyez au moins 700 € pour changer les pièces du moteur.

Que retient-on finalement ?

Sans surprise, la moto électrique est beaucoup moins chère à l’entretien que la moto thermique. Elle se compose de peu d’éléments qui font que son entretien revient aux mêmes pièces d’usure. Ces dernières ne coûtent pas cher. Par conséquent, la moto passe peu de temps chez le garagiste. Aussi, le coût de son entretien est estimé à 120 €/an.

Compte tenu de la complexité et de la récurrence de l’entretien des motos thermiques, leur frais est de 250 €/an, soit le double des engins électriques. À noter que plus la moto thermique vieillie, plus le prix d’entretien augmente.


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7 mai 20220

C’est le début d’un chapitre important de l’histoire de Ducati. L’arrivée de la première moto électrique du constructeur marque un tournant dans l’approche sportive de l’entreprise italienne, nous donnant un aperçu du chemin à parcourir. Si la production actuelle de motos électriques pour civils n’y est pour rien, le fait que le premier tour de la V21L sur le circuit de Misano Marco Simoncelli en est un indice fort.

Première étape : une moto fonctionnant au carburant synthétique

La course de motos électriques Grand Prix MotoGP, lancée lors de la Coupe du Monde FIM MotoE 2019, va connaître des changements majeurs, surtout avec l’arrivée d’un nouveau constructeur unique. Appelé V21L, le prototype est le résultat de l’équipe de course Ducati Corse et de la division eMobility. Le pilote d’essai Michele Pirro, qui occupe le poste depuis 2013, a eu sa première expérience d’essai.

Avant de passer à l’électrification à 100%, Ducati se penchera d’abord sur les carburants synthétiques. Francesco Milicia a cité Porsche, qui appartient au même groupe, pour soutenir la stratégie. Dans un communiqué de presse du 12 décembre, la société allemande a annoncé le développement de carburants synthétiques, également appelés eFuels.

En collaboration avec Siemens Energy et d’autres partenaires, la production (130 000 litres) devrait démarrer au Chili en 2022. En effet, dès 2023, cette Ducati V21L fera son chemin en MotoE, la version électrique du Moto Grand Prix. Elle devrait remplacer l’Energica EGO Corsa, qui sera retirée à la fin de la saison 2022.

Jusque-là, la Ducati V21L a encore le temps de se développer. Mais selon le pilote d’essai interne Michele Pirro, qui a la chance d’avoir un deux-roues entre les mains, la moto a été une agréable surprise. Surtout dans « son équilibre et réactivité à la « réponse » de l’accélérateur.

Les plus grands défis dans le développement d’une moto de course électrique sont liés à la taille, au poids et à l’autonomie de la batterie. Si Ducati est encore avare de détails, on remarque que le bras oscillant est ajouré pour gagner du poids. Le carénage quant à lui est en fibre de carbone et les amortisseurs sont placés très bas. Un système de refroidissement liquide semble également en faire partie.

Les caractéristiques de la future moto électrique de Ducati

Inspiré du design de la Panigale V4 et doté d’une carrosserie épurée et sculptée qui enveloppe complètement la moto, on accueille une vraie Ducati. Comme le font certaines motos électriques, Ducati quant à elle ne montrera pas son ADN électrique En termes de design, l’électrique a un avantage. Le moteur peut être monté à plusieurs endroits sans avoir besoin d’un collecteur d’échappement ou d’admission intégré. Le carénage à son tour peut envelopper les composants internes pour un ensemble plus élégant et plus aérodynamique.

La grande ouverture avant où un radiateur est généralement présent indique que le moteur ou la batterie peuvent avoir un refroidissement par eau. Cette caractéristique qui est devenue de plus en plus populaire sur les engrenages électriques alors qu’ils essaient de produire plus de puissance. Toutefois, quelle que soit l’idée technique, malheureusement, c’est toujours le travail de la société de conception, pas la méthode officielle.


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16 avril 20220

Le prix de l’essence taxée en France ne cesse de grimper. Si vous utilisez votre moto quotidiennement, c’est peut-être le moment de modifier votre comportement. En effet, afin de faire durer le plus longtemps possible votre plein de ‟sans plomb”, vous devez penser à changer votre façon de rouler. Il peut être utile également de vérifier certains détails sur votre monture pour diminuer sa consommation. Voici quelques conseils qui pourraient vous permettre de baisser votre consommation en roulant en moto.

Adoptez une conduite à vitesse stabilisée ou en accélération

Même si la vitesse n’est pas le seul facteur qui influe sur la consommation, elle reste le principal. En vitesse stabilisée, plus vous allez vite, plus vous consommez. Quel que soit son type, une moto a besoin de 8 à 10 chevaux environ pour rouler à 90 km/h sans user le moteur. Pour « croiser » à 130 km/h, il faut entre 15 et 20 ch. À 40 à l’heure, vous ne consommez presque rien, mais tout le monde vous double. À 130 à l’heure, vous consommez déjà deux fois plus et à 170 à l’heure, trois fois plus.

Autant en garder sous la main, consommer moins et fatiguer moins le moteur. En économisant peut-être un ravitaillement, vous ne passerez pas beaucoup plus de temps sur la route et vous vous épuiserez moins. Sachez que c’est à vitesse stabilisée qu’un moteur consomme le moins. L’ouverture des gaz doit donc être la plus progressive possible, surtout à froid. Les vraies économies de carburant se trouvent cependant sur les accélérations franches.

Attention toutefois car il ne faut pas confondre accélération franche, laquelle dure peu de temps avec une lente et longue accélération. En effet, tandis que la première consomme moins, la seconde fait augmenter la consommation moyenne.

Sur autoroute, cherchez les descentes et l’aspiration

Lorsque vous roulez sur autoroutes et voies rapides, adoptez une conduite « cruise control », en restant au même régime, que la route soit plate, en côte ou en descente. Dans les descentes, coupez les gaz et travaillez vos trajectoires à l’extérieur, en penchant bien loin.

Outre le régime moteur, la prise au vent est aussi un facteur qui joue sur la consommation et qu’il faut chercher à éviter à tout prix. Première mesure simple et évidente, réduisez la traînée, c’est-à-dire les turbulences qui se créent derrière le motard et la moto. Pour cela, choisissez une tenue près du corps et non une veste large qui va flotter au vent.

Optimisez votre conduite

Il faut limiter les accessoires électriques sur votre moto. Plus il y a de sources demandeuses de courant, plus votre consommation électrique (par l’alternateur) va augmenter. Pourtant, la seule source d’énergie vient du moteur qui a besoin du carburant fonctionner. Ainsi, plus votre moto bouffe d’électricité, plus elle consomme d’essence.

L’autre élément fondamental à surveiller pour consommer moins est la pression des pneus. Il faut toujours gonfler ces derniers comme indiqué par le constructeur et ne pas les sous gonfler. Notez que 0.5 bar de moins correspond à 0.5 litre en plus de carburant pour 100 km. Changez aussi votre kit chaîne s’il est en fin de vie et à le graisser le plus souvent possible. Une chaîne usée et non graissée augmente la consommation d’essence d’environ 15 % (plus de frottements).

Parmi les autres réglages mécaniques figure le ralenti du moteur. Vérifiez-le souvent, en sachant qu’il se règle à chaud puisqu’il peut varier de 300 tours par minute avec la chaleur. Essayez de le régler au minimum ou, en général, entre 900 et 1 000 rpm. Dans la même optique, il faut enlever le starter dès que possible si votre moto en est équipée et ne jamais rouler avec longtemps car la consommation peut fortement augmenter.


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9 avril 20220

Qu’il s’agisse de modèles d’occasion ou neufs, les véhicules électriques ont le vent en poupe depuis quelques années. Opter pour les engins électriques constitue une manière de participer à la préservation de la nature. La moto électrique d’occasion est particulièrement l’un des types de véhicules les plus plébiscités du domaine. Pour choisir le meilleur modèle possible, il faut prendre en compte quelques paramètres importants.

Vérifier les factures et le carnet d’entretien

Pour choisir votre moto électrique d’occasion, il faut surtout faire la vérification des différentes factures relatives à l’entretien du deux-roues. C’est une manière de connaître le niveau de sécurité des diverses pièces de la moto, et ce, depuis sa mise en circulation. À partir des divers entretiens subis par la moto, vous aurez une idée globale sur son état.

Avant d’acheter, il faudra également réclamer le carnet d’entretien de la moto électrique d’occasion. Tous les historiques d’entretien seront relevés dans ce carnet qui vient en complément des factures d’entretien. La mise à disposition de ces deux documents constitue un gage de sérieux pour le revendeur de la moto électrique.

Contrôler l’état de la batterie

Autre point important avant d’acheter votre moto électrique d’occasion, c’est de vérifier l’état de sa batterie. Pour s’assurer de cela, il faudra évaluer les points impactant réellement le bon fonctionnement de la batterie. C’est le cas notamment de :

  • l’âge de batterie ;
  • le kilométrage ;
  • l’utilisation de recharge rapide récurrente ;
  • le stationnement prolongé à 100 %, etc.

L’objectif, c’est d’éviter d’acheter une moto électrique d’occasion dont il faudra changer prochainement la batterie. Il faudra alors miser sur des modèles dotés d’une batterie en lithium-ion, qui offre un fonctionnement optimal et durable. Pour disposer de toutes les informations sur la batterie, vous pouvez questionner le vendeur ou réaliser un test d’autonomie complet.

Évaluer l’autonomie et la vitesse

Dans le choix de votre moto électrique d’occasion, il faudra également penser à évaluer l’autonomie et la vitesse. Ces deux points doivent parfaitement répondre à vos besoins en termes de déplacement. Selon que vous comptiez utiliser la moto en ville, à la campagne ou en périurbain, vous calculerez alors les distances de vos divers trajets.

Ainsi, vous saurez tout sur le niveau d’autonomie à choisir pour votre moto électrique d’occasion. Vous ferez la même chose pour ce qui est de la vitesse de pointe. Toutefois, à ce niveau, il faudra considérer le type de permis que vous possédez. Il vous orientera alors vers l’équivalent moto en capacité et vitesse à choisir.

Tenir compte d’autres éléments importants

Pour bien choisir votre moto électrique d’occasion, vous ne vous limiterez pas uniquement aux paramètres ci-dessus. Il faudra également vérifier l’état du chargeur de la moto afin d’éviter de vous faire arnaquer. Un modèle avec un chargeur qui ne marche pas vous apportera plein de problèmes. Lors de votre choix, il est important de miser sur une moto électrique sous garantie.

C’est une manière de se rassurer davantage sur le niveau de qualité du deux-roues électrique d’occasion. Avant d’envisager un achat, pensez à réaliser divers tests notamment en conduisant le véhicule. À ce niveau, il faudra être bien attentif aux bruits suspects pendant le roulage. Ainsi, vous pourrez vérifier d’éventuels risques de détérioration du roulement et le bon réglage de la courroie.


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21 février 20220

En Octobre 2021, la mairie de Paris a eu l’idée de créer un projet dénommé Plan Bruit. Ce projet consisterait à déterminer les sources de pollution sonore à Paris dans le but de les éradiquer afin de permettre aux habitants de profiter d’un environnement de sain. Pour cela, une enquête a été menée, visant à recueillir les avis des habitants sur le sujet. La réponse a été claire : les riverains parisiens n’aiment pas les motos thermiques. Les raisons sont à la fois d’ordres sociales et sanitaires. Cependant, il faut avouer que le confinement qui a commencé depuis la pandémie de COVID 19 en est également pour quelque chose.

L’étude qui a tout révélé : le Plan Bruit

C’est dans le cadre du projet Plan Bruit de la ville de Paris que la mairie a questionné les riverains parisiens sur la pollution sonore grandissante dans la capitale et leurs approches de solution. Cette enquête qui a pris fin seulement ce 10 Janvier 2022 a révélé que ces derniers n’apprécient guerre les bruits gênants des moteurs thermiques à 2 ou 3 roues. En effet, les motards en France sont réputés pour les bruits énormes qu’ils émettent à travers la ville à longueur de journée et même la dans la nuit. Ils dépassent d’habitude la fréquence sonore limite indiquée pour les motos thermiques qu’ils utilisent.

Lors de cette étude, les habitants ont émis des centaines de propositions dont l’interdiction pure et nette des motos thermiques à Paris. Curieusement, cette idée a obtenu un taux de vote de plus de 80 % : les riverains parisiens sont réellement déterminés à faire la guerre aux motos thermiques. Cela est sans doute le produit d’un grand mécontentement face aux interruptions de sommeil répétées, aux accidents de route liés aux imprudences des motards et bien d’autres raisons.

Les parisiens ont-ils raison de vouloir condamner les moteurs thermiques ?

Généralement, un motard qui fait la fête dans les rues de Paris sur sa moto thermique à 2 roues ne se rend pas compte de l’effet que cela peut produire sur les autres. Pourtant, de nombreuses personnes ont fini par développer des troubles de sommeil et des troubles cardiovasculaires à cause des bruits trop intenses des moteurs thermiques. Cela concerne toutes les tranches d’âge : adultes, enfants et surtout les personnes du troisième âge. Cette situation devient plus sérieuse qu’elle n’en a l’air. En 2016, selon une étude publiée par le Conseil National du Bruit, les troubles du sommeil avaient engendré, en France, le plus de dépenses en matière de santé.

En dehors de ces points pré-cités, il convient de rappeler qu’un motard qui veut faire vibrer fort son engin est également obligé de rouler en vitesse. Qu’en est-il donc du risque d’accident de circulation auxquels il s’expose ?

De plus, avec la pandémie, le citoyen a désormais tendance à préférer le calme et la quiétude du confinement au brouhaha de la capitale. On comprend pourquoi les riverains parisiens n’aiment pas les motos thermiques. Cependant, en interdire totalement l’usage, est-ce la solution ? Ne serait-ce pas un coup dur pour le fabricant ? Qu’en sera-t-il des personnes qui ne jurent que par leur moto comme moyen rapide d’atteindre leur lieu de travail ? Autant de questions restent à élucider.


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10 février 20220

Tout comme la carte d’identité décline l’identité d’une personne, la carte grise renferme les informations d’une moto. Ainsi, conduire sans se munir de ce précieux document pourrait conduire à des sanctions. Que risque-t-on à rouler sans carte grise ? Découvrez ici quelques éléments de réponse.

Une sanction de niveau 1

La carte grise comporte des informations sur la moto telles que le modèle, la marque du véhicule et le numéro d’immatriculation. Ce document est très souvent réclamé par les autorités au cours des contrôles routiers. La loi stipule d’ailleurs clairement que l’ensemble des véhicules terrestres à moteur n’ont pas la possibilité de circuler sur la voie publique sans être immatriculés. Cela concerne également les 2 roues de moins de 50 cm3, les engins agricoles et les remorques dont le poids autorisé en charge est supérieur à 500 kg.

Ainsi, conformément à la loi de l’administration française, si vous n’êtes pas muni de la carte grise de votre moto, une amende de 11 euros vous sera infligée. C’est le niveau 1 de la sanction. Toutefois, il est à notifier que cette amende de 11 euros est pour des conducteurs qui disposent de la carte grise, mais l’ont oublié lors de la conduite. Dans ce cas, vous avez un délai de 5 jours pour présenter la carte grise au commissariat le plus proche quand vous l’aurez à votre portée au risque de voir votre peine s’accentuer.

Une sanction de niveau 4

Circuler sans avoir la carte grise de sa moto est une contravention de 4 niveaux. En effet, il est strictement interdit de circuler dans un véhicule qui n’a pas du tout de carte grise. Autrement, vous devez solder une amende de 4ème classe qui équivaut à 135 €. Toutefois, cette sanction peut être majorée à 750 €. Par ailleurs, le véhicule peut être immobilisé en fonction des cas et des circonstances. Il faut préciser que cette sanction concerne les propriétaires de moto qui n’ont pas encore élaboré la carte grise de leur moto. Par ailleurs, les photocopies de carte grise ne sont pas admises. Vous devez nécessairement présenter l’original de la pièce.

Rouler sans carte grise avec zéro risque dans certains cas spécifiques

Il est tout à fait possible de rouler avec une moto sans carte grise sans avoir une quelconque sanction. En effet, vous avez la possibilité de conduire une moto sans disposer d’une carte grise originale pendant un délai de 1 mois après l’acquisition d’une nouvelle moto. Si vous avez un véhicule neuf, vous gagnerez à conserver les documents d’achat du véhicule en attendant la réception de la carte grise par courrier.

S’il s’agit d’un véhicule d’occasion, il est important d’avoir à sa disposition le coupon détachable de la carte grise de l’ancien propriétaire que vous avez expédié durant les démarches d’immatriculation. En cas de location classique d’une moto, vous n’avez pas à présenter une carte grise. Toutefois, la facture de location peut être demandée pour vérifier qu’il s’agit effectivement d’un véhicule loué.

Vous l’aurez compris, il est bel et bien possible de rouler sans carte grise bien que certaines sanctions soient infligées dans certains cas.


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9 janvier 20220

Le DTX 360 est une révolution de la marque Kymco. C'est le scooter Adventure à ne pas rater en ce moment. Adoptez-le où que vous soyez et quelle que soit votre activité. Grâce à son design confortable et ses équipements haut de gamme, vous pourrez vous permettre toutes les escapades en tout temps. Présenté au mois de septembre de cette année, il a tout de suite fait sensation. Il faut dire qu'il était très attendu. Rentrons dans les détails qui caractérisent cette petite merveille !

Le Kym DTX 360 : fiche technique

La marque Kymco a sorti le grand jeu avec le nouveau scooter DTX 360.

En effet, grâce à ses dimensions parfaitement conçues, votre DTX 360 séduira tout seul et sans efforts, votre entourage. À première vue, ses caractéristiques se présentent comme telles :

  • 2165 mm au niveau de la longueur ;
  • 780 mm à la largeur ;
  • 1285 mm pour la hauteur.

Vous croirez sûrement que c'est un mastodonte, mais détrompez-vous ! Il est moins lourd qu'il n'y paraît, il ne pèse que 194 kg. Pour soutenir ce calibre, vous avez des pneus avant et arrière qui font respectivement du 120/80-14 et du 150/70-13.

En outre, ce modèle présente un moteur monocylindre à refroidissement liquide de 321 cm³. Avec une puissance maximale de 28,2 chevaux à 7500 trs/minute, il a une consommation de litres sur 100 km. Finies, les pannes d'essence lors des déplacements, son réservoir à essence peut contenir jusqu'à 12.5 litres !

Par ailleurs, soucieuse de l'environnement, le scooter a une faible consommation avec un rejet de gaz CO2 de 87 g/km. La transmission, quant à elle, est automatique et à variation continue. La sécurité est également au rendez-vous avec ses deux amortisseurs hydrauliques qui sont réglables. Il possède un Disque ABS pour le freinage avant et arrière.

Ce n'est pas tout. Ce crossover n'a pas séduit uniquement grâce à sa fiche technique. Il possède bien d'autres charmes.

Le Kym DTX 360: un design vertigineux

Vous aimez la beauté ? Alors vous serez d'autant plus séduit avec l'éclairage LED du DTX 360 et sa bulle touring réglable en hauteur.

D'une part, il y a sa carrosserie qui ne passe pas inaperçue de part l'association de couleurs éclatantes comme l'orange-anthracite. Il y a aussi le vert anthracite et sa ligne endurisée qui fait de ce modèle, un bijou différent des anciennes productions. De plus, sa luminosité diurne et son phare arrière avantagent son design unique.

D'autre part, il y a son écran couleur, son grand coffre qui peut prendre deux casques à la fois et ses rangements avec port USB. Vous avez déjà envie de vous l'offrir ? Sachez que vous n'hésiterez pas longtemps, car la marque Kymco a misé sur une technologie de pointe avec le système Keyless qui certainement ne va pas vous déplaire.

Le Kym DTX 360 : prêt à partir ?

Le Kym DTX 360 vous rendra plus amoureux de scooter que vous ne l'êtes déjà. Que vous soyez un sportif ou un aventurier, ce moyen de déplacement polyvalent saura répondre à vos attentes. Son modèle est doublement garanti et facile d'utilisation. Sur ce, n'attendez plus !


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30 décembre 20210

La filiale Kawasaki a changé les rapports de force du secteur automobile en annonçant la sortie de nouvelles motos sur le marché pour l’année 2022. Bien qu’il s’agisse de modèles revisités pour la plupart, ces nouveaux engins sont attendus avec une grande impatience par les passionnés de véhicules à deux roues. La marque japonaise fera d’abord son lancement aux États-Unis avant d’arriver en Europe. En attendant, voici les motos électriques Kawasaki 2022 !

La Z650 RS

Il y a du nouveau dans la famille 650 de Kawasaki : une Z650 RS, avec une couche rétro inspirée de la Z900. D’une puissance de 68 chevaux, elle utilise un bicylindre parallèle de 649 cm³. Elle est relativement accessible du haut de ses 800 mm et très légère avec un poids de 187 kg. Son châssis très agile donne à tous les conducteurs beaucoup d’aisance pour la manœuvrer.

La Z900 RS SE

La tendance est au rétro du côté de Kawasaki qui nous présente la Z900 RS SE et son coloris « YELLOW BALL » qui attire tous les amateurs de look vintage. Avec sa belle réinterprétation de la Z1, la Z900 revient en 2022, mais en version SE, équipée d’un ensemble de freins de suspension de performance. Sa partie-cycle a été améliorée. La fourche de 41 mm a été retravaillée pour s’accorder avec l’amortisseur. La Z900 RS SE dispose d’un élément Öhlins S46, plus rigoureux et plus qualitatif. Le freinage est également amélioré avec deux disques Brembo de 300 cm et des étriers Brembo M4.32 monoblocs à 4 pistons.

La Z900 SE

La roadster Z900 se voit redorée pour l’année 2022. Avec son amortisseur au gaz Öhlins S46 à l’arrière et son élément monotube pourvu d’un grand piston de 46 cm. La 900 a bien l’intention de raffiner ses qualités routières. Elle dispose de disques Brembo de 300 mm, de plaquettes et d’étriers M4.32 monobloc à 4 pistons. Elle a encore d’autres particularités parmi lesquelles un corps en aluminium, des chambres d’huiles et de gaz séparées ainsi qu’une à mollette de réglage séparé pour la précharge.

La KLX 230 S

La KLX 230 arrive pour l’année 2022 en version plus accessible. Tandis que le siège de la 230 standard a une hauteur de 885 mm soit 34,8 po, celle de la 230 S est de 830 mm, soit 32,6 po. Ce qui veut dire deux pouces en moins.

La versys 650 III

Dotée d’une fourche inversée de 41 mm avec double réglage (précharge et détente), d’un amortisseur latéral et un cadre Diamond tubulaire en acier. La versys 650 III ne semble pas très différente de la II. Les freins restent les mêmes avec deux disques de 300 mm à l’avant plus étriers double et un disque de 250 mm à l’arrière. De plus, il n’y a pas de changement apporté au niveau de la puissance du moteur qui est estimé à 67 chevaux et 6,2 mkg.

Cependant, la face de cette moto a été revisitée. La nouveauté ? Un contrôle de traction KTRC avec deux niveaux de réglages qui pourront être désactivés par la suite. L’affichage est tout autre, puisqu’on y a intégré la dalle TFT. L’écran de 4,3 pouces offre un affichage plus développé. La fonction Bluetooth est intégrée et le pilote a accès aux données relatives à sa navigation.


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28 octobre 20210

Si vous rêvez de conduire une moto, il faut savoir que le permis moto est obligatoire. L’obtention de ce dernier a évolué ces dernières années et devient de plus en plus facile. De nouvelles dispositions ont été prises par le gouvernement pour rendre plus simple et rapide son obtention. Comment passer le permis moto ?

Le permis moto A2 d’abord

L’autorisation de conduite de la moto a connu plusieurs modifications. Elle a été reformée en 2013 puis modifier en juin 2016 et en mars 2020. Pour avoir le permis moto A, vous devez d’abord passer le permis moto A2. Ce dernier, intermédiaire, vous permet de rouler des motos à puissances moyennes. Il s’agit des motos ayant une puissance maximale de 35 KW (47,5 Ch) et dont le rapport puissance/poids est en dessous ou égal à 0,2 KW/Kg.

Conditions à remplir pour avoir l’autorisation intermédiaire A2

Vous devez avoir au minimum 18 ans. Cependant, même si vous n’avez pas encore 18 ans, vous pouvez commencer la formation théorique.

Il est important d’avoir l’ASSR ou ASR. Si vous avez moins de 21 ans et qu’il s’agit de la première catégorie que vous passez, vous devez posséder l’attestation scolaire de sécurité routière de 2nd niveau (ASSR2) ou l’attestation de sécurité routière (ASR). Si vous l’avez déjà perdu, pas de soucis à se faire. Vous pouvez toutefois faire une déclaration sur l’honneur.

Vous devez jouir d’un parfait état de santé. Pour cela, si vous souffrez d’une maladie ou affection quelconque, vous allez devoir passer un contrôle médical auprès des médecins spécialisés avant de passer votre permis.

Comment faire l’inscription à l’examen

Si vous remplissez ces conditions, il ne vous reste qu’à vous inscrire à l’examen. Vous pouvez passer par une moto-école pour faire votre inscription. Vous avez aussi la possibilité de le faire en ligne sur le site de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés. Voici les documents que vous devez fournir :

  • un justificatif d’identité ;
  • un justificatif de domicile ;
  • une photo d’identité ou une photo-signature numérique ;
  • un certificat médical si nécessaire.

Si vous avez la nationalité française avec un âge inférieur à 25 ans, vous devez fournir une copie du certificat individuel de participation à la journée défense et citoyenneté (JDC) ou une attestation provisoire en instance de convocation à la JDC ou encore une attestation individuelle d’exemption.

Si vous êtes un étranger, vous devez fournir un justificatif de régularité du séjour ou une preuve de votre présence dans le pays depuis 6 mois au moins.

Le permis A ensuite

Pour l’avoir, vous devez attendre deux ans après l’obtention de l’autorisation de type A2. Il ne s’agit plus ici de passer un autre examen. Il vous suffit de suivre une formation de sept mois dans une moto-école spécialisée. L’avantage est qu’avec le permis A, vous pouvez conduire des motos sans limitation de puissance.

Désormais, vous avez aussi la possibilité de passer le permis pour les motos automatiques. Il s’agit essentiellement des scooters ou des motos à boîte de vitesses robotisée. Cependant, votre permis A peut aussi vous permettre de conduire ces genres de motos.

Si vous souhaitez devenir un motard, vous savez comment faire pour avoir votre autorisation en main. Il n’y a plus de frein à la réalisation de votre rêve.


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14 octobre 20210

Les moyens de déplacement ont une place prépondérante dans le quotidien de la plupart des personnes. Avec les avancées technologiques, vous aurez le choix entre plusieurs accessoires de locomotion. C’est le cas des motos électriques qui ont le vent en poupe depuis quelques années. Cet engouement pour ces moyens de déplacement amène certains potentiels utilisateurs à se demander si elles valent réellement le coup. Voici ce que vous devez en savoir.

Un investissement écologique

Les motos thermiques embarquent généralement des moteurs à combustion. La conséquence directe sera le rejet des gaz à effet de serre qui constituent des facteurs de risque induisant les changements climatiques. Si ces changements se remarquent de moult manières, la hausse des températures en sera la plus évidente.

Les motos électriques sont donc une solution à court terme pour tenter de résoudre ces problèmes. N’embarquant pas de moteurs thermiques, elles permettent de réduire les émissions de gaz. De même, elles sont un moyen efficace d’éviter la pollution sonore. Contrairement aux motos thermiques qui peuvent signaler leur passage à des centaines de mètres, les modèles électriques offrent un meilleur confort auditif.

Un bon investissement dans le temps

Lorsque l’on parle des motos électriques, on pense tout de suite à leurs prix élevés. Par exemple, entre un modèle électrique et une option thermique avec les mêmes performances, la première peut être plus chère. Néanmoins, le déficit créé par ce coût peut être très vite comblé par les dépenses énergétiques.

Les motos électriques offrent un faible coût énergétique. Pour cela, vous dépenserez moins d’argent pour vous déplacer qu’en circulant à moto thermique. Cela est surtout possible grâce aux technologies intégrées dans la conception de ces engins. Les motos électriques sont moins lourdes que les modèles classiques. Cela permet de réduire de façon considérable la consommation en énergie.

Ainsi, l’économie réalisée sur le carburant vous fera oublier le coût à l’achat. Toutefois, cette dépense énergétique va dépendre aussi de la charge que devra porter l’engin. Puisque ces engins se basent surtout sur la technologie, les fabricants font preuve de créativité dans le but de réduire la consommation énergétique des motos électriques.

Une assurance moins onéreuse

Lorsque vous avez une moto, souscrire une assurance est une obligation légale. Pour cela, vous devrez choisir l’assureur de votre choix selon les modalités à couvrir. Si cette étape peut nécessiter un budget conséquent avec les engins thermiques, cela ne sera pas le cas avec les motos électriques.

En effet, le prix de l’assurance est fixé selon la prédisposition de l’engin aux accidents. Les assureurs considèrent les motos à moteurs thermiques comme étant plus accidentogènes que les modèles électriques. Pour cela, le prix à payer vous sera plus accessible. Il en sera de même pour le permis et le certificat d’immatriculation qui coûtent moins cher.

Un entretien facile

Les motos électriques demandent très peu d’entretien. De façon classique, les options thermiques embarquent un moteur qui à son tour comporte un réservoir avec de l’huile et une chaîne. Ces deux éléments vont par leur fonctionnement encrasser la carrosserie de l’engin nécessitant ainsi un entretien régulier. Puisque la moto électrique en est exemptée, vous n’aurez pas besoin d’effectuer des nettoyages au niveau du moteur.

Il vous faudra simplement changer les pneus et la chaîne au besoin. De même, vous aurez besoin de changer votre batterie dans le temps puisqu’elle ne dispose pas d’une durée d’utilisation illimitée. Toutefois, ce sera après un certain nombre d’années.